Je suis toujours soufflée et émerveillée quand je constate encore et encore que toutes les traditions spirituelles se correspondent et que la Grande Sagesse des Hommes (inspirée par la Vie évidemment) est bien réelle, solide, extrêmement bien fondée...et surtout ancienne.
Tellement ancienne...on en perd le compte.
Ancienne mais toujours vivace, vivante, prête à opérer, se manifester, se renouveler, s'appliquer au Monde tel qu'il est aujourd'hui, avec ses nouvelles diversités, ses nouveaux enjeux.
Cette Sagesse sera toujours la Solution à nos Problèmes j'en suis certaine.
Car elle est l'invention de la Vie elle-même qui n'est que Changement, Intelligence Infinie, Abondance sans contours.
Cette Sagesse c'est la Science d'hier et d'aujourd'hui et elle va encore occuper les chercheurs de tous bords.
C'est pour cette raison que j'aurai toujours foi en Nous les Humains car quoique nous décidions collectivement je pressens que cette Puissance qui est nous, plus ou moins en dormance (oui car la Sagesse des Anciens est en nous, nous sommes leurs descendants!) retrouvera un jour le passage, la Voie Royale en nous et se répandra naturellement...une fois que nous aurons fait le tour de toutes les conneries que nous avions envie de faire !!
La Sagesse de la Vie, la Multiple, la Métamorphique, la Sidérale, la...(où sont les mots?) est la Réponse et se trouve, notamment, sous le sabot d'un cheval, sur le front d'un nouveau-né, dans une fleur de catus...
Voici le passage qui m'a inspiré cette bafouille :
« L'origine du I Ching qui signifie Livre des Transformations, comme celle de la Roue de la Médecine, se perd dans la Préhistoire ; mais nous savons qu'il est antérieur au Confucianisme et au Taoisme de l'Orient et qu'il les a tous les deux influencés.
En Occident le I Ching est devenu un moyen de prédire l'avenir, comme l'astrologie solaire ; mais c'est là une dégénérescence de sa fonction d'oracle, ce qui n'est pas la même chose.
Un oracle est un moyen de mesurer la qualité du moment et d'obtenir un conseil sur sa signification.
Les Chinois vénéraient le I Ching ; ils le consultaient comme s'il s'agissait d'un personnage plein de sagesse ; car si on le traite comme une personne, ses réponses prennent l'allure de réponses personnelles. (...) »
Médecine de la Terre de Kenneth Meadows.
La suite est encore plus intéréssante...
